Le film cartonne et Leonardo Di Caprio doit être tout content d’avoir remporté le pompon en 2007, lorsqu’il acquit les droits des mémoires du Loup de Wall Street, Jordan Belfort (lire paru en France en 2009).
Dans le film, le Loup de Wall Street, pas de montage financier mais la vraie vie des traders et brokers d’alors … (et de retour en 2014 ?) avec drogue, whisky et petites pépés..
A l’inverse de la France où les traders et assimilés ont fait quelques études, le vrai Jordan Belfort est sorti quasiment de la rue, où il a appris le commerce en vendant des steacks et des surgelés et en faisant faillite (ce qui aux USA donne un avantage contrairement à notre pays).
Assistant trader chez L.F. Rothschild grâce à son bagou, Jordan Belfort pu se concentrer sur l’essentiel, à savoir vendre de l’argent et du rêve à des clients gogos tout en encaissant du vrai cash comme commissions et en tenant grâce à des substances prohibées et montrées du doigt dans n’importe quel sport.
En 1989, après le crash, Jordan Belfort monte sa propre société de courtage, Stratton Oakmont et industrialise ses méthodes de vente sans peur ni conscience. Faisant monter artificiellement les actions qu’il vend, Jordan Belfort décline Ponzi dans la promesse de gains et ruine des milliers de petits boursicoteurs attirés par les lumières de la richesse.
Après avoir été attrapé par le FBI et 22 mois de prison (initialement condamné à 4 ans, il eut une remise de peine en échange de témoignages sur ses associés et comparses), Jordan Belfort s’est reconverti en coach de vente et de développement personnel, Jordan Belfort remène la belle vie tout en répétant que ce qu’il a fait est mal et que l’histoire peut se répéter …
Voici une interview du vrai Jordan Belfort, le Loup de Wall Street:
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