Normalement, depuis 2002, le coût d’un rejet de chèque inférieur à 50 euros ne doit pas dépasser 30 euros. Depuis 2008, le coût maximal de rejet d’un chèque supérieur à 50 euros est de 50 euros et à 20 euros pour un prélèvement.

Les banques continuent néanmoins de s’en donner à coeur joie.

Comparatif des frais de banques pour incidents de paiements

Banque Populaire facture 10,22 euros de commission d’intervention pour insuffisance de provision par opération avec un maximum de 306,60 euros par mois

BNP Paribas facture 8,60 euros de commission d’intervention pour insuffisance de provision par opération avec un maximum de 172 euros par mois

Caisse d’ Epargne facture 8,77 euros de commission d’intervention pour insuffisance de provision par opération avec un maximum de 26,31 euros par mois

Crédit Agricole facture 6,60 euros de commission d’intervention pour insuffisance de provision par opération avec un maximum de 132 euros par mois

HSBC facture 8,10 euros de commission d’intervention pour insuffisance de provision par opération avec un maximum de 24,30 euros par mois

Banque postale facture 6,50 euros de commission d’intervention pour insuffisance de provision par opération avec un maximum de 19,50 euros par mois

LCL facture 8,40 euros de commission d’intervention pour insuffisance de provision par opération avec un maximum de 168 euros par mois

Société Générale facture 8,90 euros de commission d’intervention pour insuffisance de provision par opération avec un maximum de 26,70 euros par mois

Partager
Tags: chèque

Voir +

Bâle III : comprendre les nouvelles règles qui encadrent les banques françaises

L’accord Bâle III est devenu la pierre angulaire de la régulation bancaire moderne depuis l’effondrement…

Ce que les milliardaires paient vraiment en impôts en France

Les discussions autour de la fiscalité sont souvent présentées comme un débat technique, réservé aux…

Reconduction tacite des abonnements : ce que dit la loi et comment en sortir

La reconduction tacite est l’un des pièges les plus courants de la consommation moderne. Derrière…